Combat Information Center

A l'autre bout du fil le terroriste lui répondit.

"Commandant Adama. Mon identité ne vous saura d'aucune utilité. Je souhaiterai parlez de quelques affaires avec vous. De négociation. Vous devez êtres au courant que nous retenons 3 de vos officiers. Accepter de me rencontrer et nous les laisserons partir sans leur faire le moindre mal."

Un bruit de bagarre se fit entendre dans le combiné et un homme parla suivis d'un coup de feu qui résonna dans téléphone.

"J'attend votre réponse commandant. La balle est dans votre camps. Accepté de me voir a bord du Daru Mozu et il n'y aura pas d'autres....incidents."

Le terroriste savait trés bien que le commandant avait entendu le coup de feu.

Dualla fit un résumé rapide de la situation à Starbuck et Apollo. Ce qui ne devait être qu'une enquête discrète avait tourné à la prise d'otages, et Lee en venait à se demander si ce n'était pas ce que les terroristes avaient initialement prévu. Un piège grossier, sans aucun doute. Et dire qu'il était sensé accompagner Boomer sur cette mission ! Il se sentait vaguement responsable, maintenant...

Kara serra convulsivement son bras et il était évident qu'elle était morte d'inquiétude pour Boomer. Oui, il fallait agir, il était tout à fait d'accord avec ça, ça ne faisait pas le moindre doute. Mais ses mots lui firent quand même un peu l'effet d'une claque. Qu'est-ce qu'elle croyait exactement ? Qu'il n'était pas inquiet lui aussi, qu'il avait l'intention de se carapater en les laissant tomber ? Il la dévisagea, incrédule. Le prenait-elle pour un lâche ?
- "Oui, Lieutenant, on va y aller, je n'ai pas d'autre intention", réussit-il à articuler avec un semblant de calme, les yeux fixés dans les siens. C'était pas le moment de jouer les outragés.

Après quoi il remercia Dualla et s'empara du second combiné désigné par son père. Il fit signe à Kara de s'approcher, puis l'éloigna légèrement de son oreille pour que tous deux puissent entendre. Il espérait que son père demanderait à parler au moins à l'un des otages, en guise d'assurance qu'ils allaient bien.
- "Négociations à quel sujet ?" articula-t-il silencieusement au Commandant. Ca n'avait pas réellement d'importance, parce que de toute façon, on ne négociait pas avec les terroristes. Mais ça pouvait peut-être leur permettre de gagner du temps.

William était toujours aussi énervé? Ce terrorriste, qui se croyait au-dessus de tout parce qu'il retenait dans soldats en otage, le rendait encore plus rageux. Il répondit... "Je ne négocie pas avec des hommes qui retiennent mes soldats en otage. Relâchez-les et je vous laisserai quitter le Daru Mozu."

C'est alors qu'un coup de feu retentit. Quelqu'un venait de tirer, de l'autre côté. Will était d'autant plus inquiet. "Qui a tiré ? Est-ce que mes hommes sont blessés ?". William ne faisait que gagner du temps. Il cacha le combiné avec sa main et il lança à Kara... "Il me faut des hommes prêts à intervenir sur le Daru dès que possible !"

"Avec plaisir Commandant!" L'ordre donné par le commandant Adama me fit réagir de suite. Je m'approchai rapidement de Dualla, et lui indiquait ce dont j'avais besoin: "Petty officer Dualla, contactez les hangars, et dites au Chef de tenir 3 raptors prêts à décoller. Faites aussi en sorte qu'une équipe de nos meilleurs marines se rendent sur le pont immédiatement. Exposez-leur brièvement la situation, je les brieferai en vol."

L'inquiétude et la panique avaient à présent disparu. Il me fallait mener cete mission à bien, et avec l'aide du capitaine, j'étais certaine que nous raménerions nos hommes à bord du Galactica. J'étais redevenue une militaire en service, et seul importait maintenant que les terroristes qui retenaient nos compagnons en otage soient arrêtés.

J'allai saluer le commandant, et lui dis: "Je vous promets qu'on ramènera tout le monde à la maison monsieur, et ces foutus teroristes ne s'en sortiront pas si facilement". Je partis rapidement, et avant d'atteindre la sortie du CIC, je me retournai, et lançait à Lee: "Capitaine, rejoignez-moi sur la piste dès que possible! ". Puis je quittai la pièce, cette fois-ci au pas de course.

"Vous voulez peut être la preuve que vos hommes sont toujours en vie? Je vais vous en donnez une."Parlez leur! Dites leurs que vos compagnons vont bien!."

Le terroriste passa le téléphone au spécialiste Rosenfield

"Commandant, je suis le Spécialiste Rosenfield... ...Commandant, ils ont tirés sur Erwan ! Kayns et Valerii sont blessés ! Il vont nous tuer ! Il ne faut pas...".

Le spécialiste n'eut pas le temps de finir sa phrase que le téléphone lui fut enlevé.

Lee apprécia à sa juste valeur la fermeté du Commandant. Il ne fallait pas lâcher le morceau, sans quoi ils se retrouveraient dans la même situation au moindre pet de lapin. Kara quitta le CIC au pas de course pour préparer l'expédition, et il hocha la tête. Oui, il les rejoindrait dans un moment aux hangars, ou directement sur la piste. Mais en attendant, il y avait quelque-chose qu'il pouvait faire. Il fit signe à Dee d'approcher à nouveau, puis masquant le combinet d'une main pour ne pas être entendu, il lui demanda les plans du Daru Mozu.

Un coup de feu retentit à l'autre bout de la ligne, puis la voix, désagréable, du terroriste qui n'avait toujours pas compris qu'il n'avait rien à gagner avec cette méthode. Le spécialiste Rosenfield fut amené mais le bilan qu'il leur fit rapidement n'était guère engageant. Une lueur froide brilla dans les yeux du Capitaine et son visage se ferma. Il étala sur la table les plans amenés par Dualla, et les étudia un moment. Puis il désigna silencieusement à son père, avec la pointe d'un crayon, une partie de la coque moins épaisse que le reste du vaisseau, puisqu'elle servait au ravitaillement.

- "On doit pouvoir s'introduire à l'intérieur du vaisseau par là", murmura-t-il à son père, toujours en dehors de la ligne. "Remonter les coursives, et balancer du gaz soporifique. Les otages seront peut-être touchés aussi bien que les terroristes, mais c'est somme toute un moindre mal. Qu'en dis-tu ? Dualla, prévenez le Lieutenant Thrace d'équiper tout le monde de masque à gaz, s'il vous plaît."

- "Oui, Monsieur."
Dualla ouvrit un canal de communication avec le hangar. Un technicien lui répondit.
- "Ici le CIC. Dés que le Lieutenant Starbuck arrivera, passez lui ce message. Vous devez équiper tous les marines allant sur le Daru Mozu de masques à gaz."

Le technicien répondit affirmativement et la communication fut coupée.
- "Message envoyé, Monsieur."

William était toujours avec son téléphone. Le rapport rapide du Spécialiste Rosenfield n'était guère encourageant. Il ne savait pas quoi dire pour gagner du temps, mais se montrer agressif et ferme ferait certainement réfléchir les terrorristes. Lee lui lança un regard afin d'exprimer son contentement. William Adama se lança... "Mes hommes sont blessés. Aucune négociation n'est possible. Relâchez-les et je vous laisserai quitter ce vaisseau. Il n'y aura pas d'autre offre."

Il regardait en même temps ce que prévoyait son fils, Lee Adama. Envoyer du gaz soporifique serait certainement une bonne idée, mais l'opinion civil serait contre cela à coup sûr. Mais c'était un risque à prendre. Des soldats étaient menacés de mort, là-bas. Il hocha de la tête en signe de contentement. Il cacha le téléphone avec sa main, puis lança à son fils... "Vas-y, fils, et bonne chance."

"Désolé. Mais ce n'est pas vous qui dictez les règles cette fois çi Adama. C'est moi. Et j'attend toujours mes journalistes. La flotte à le droit de savoir ce que vous complotez entres militaires. Vos manigance avec le gouvernement ne nous menerons qu'a notre perte!!Si dans 1 heure les journaliste ne sont pas sur le Daru Mozu et vous avec eux je tuerais un des otages. Votre lieutenant peut être...ou bien ce marine ou ce technicien. Réfléchissez vite! J'attend votre réponse!"

Cracha le terroriste dans le téléphone. Et il coupa la communication.

Le Capitaine remercia Dualla d'un hochement de tête tout en écoutant attentivement les paroles du terroriste.
* Bon sang, il ne manque pas d'air, ce type ! Il n'est jamais passé par un sas d'expulsion ?! *
C'était un mauvais calcul. Les terroristes n'avaient pris en otages que des militaires, des gens non seulement entraînés à ce genre de choses en principe, mais en plus qui savaient à quelle sauce ils risquaient d'être mangés en signant. Autrement dit, le Commandant n'était pas sensé avoir de scrupules à envoyer le vaisseau aux oubliettes en dernière extrémité.

Mais avant d'en arriver là, ils allaient tenté quelque-chose. Lee hocha la tête à l'assentiment de son père.
- "Dualla, lancez un appel à tous les pilotes de vipers. Alerte de niveau 2, tous sur la piste d'atterrissage dans cinq minutes."
Il reposa doucement le téléphone, et quitta le CIC en direction de l'infirmerie, il avait une petite idée de la personne dont ils avaient besoin. C'était risqué, et ils devraient l'avoir à l'oeil, mais il fallait savoir prendre des risques, pas vrai ?

[HJ - Direction l'infirmerie.]

William était décontenancé par ce que le terrorriste venait de dire. Cette personne était très sûre d'elle. Adama avait peur pour ses soldats, pris en otages, là-bas. Il raccrocha la téléphone, juste à temps pour voir Lee sortit du CIC. Il regarda le Dradis et vit le Daru Mozu... Puis il demanda à Dualla...

"Officier Dualla ! Je veux une ligne sécurisée avec la Présidente, sur le Colonial One ! Il faut l'informer de ce qu'il se passe...". Après cela, Will reprit ce même téléphone. Lorsque quelqu'un répondit, il dit... "Madame la Présidente ?"

Laura se leva et se dirigea vers un autre poste à l'abri des regards.

" Oui Commandant, Que se passe-t-il ? " lui répondit-elle, soucieuse.

* Une ligne sécurisée, ce doit être grave et il semble inquiet, Que se passe-t-il encore*


[HJ : J'ai fait court aussi William, désolée de ne pas être venue plus tôt.]

[HJ : Pas grave du tout. ]

William était heureux de voir que la Présidente abordait une voix sereine. Ainsi, il serait certainement plus facile de lui expliquer la situation... William regarda par réflexe les alentours : le CIC était à présent presque vide de toute personne importante. Seuls les innombrables opérateurs étaient à leurs postes, comme toujours. Dualla, elle, donnait des indications par radio. William Adama se lança, en respirant un grand coup. Il tentait d'avoir une voix moins stressée, plus réconfortante, pour ne pas dramatiser cette situation.

"Madame, désolé si je n'ai pas pu vous informer plus tôt, mais la situation est grave. J'ai envoyé en debut d'après-midi une équipe de Militaires sur le Daru Mozu afin d'y suivre la piste d'une menace terrorristes. J'ai à présent reçu un appel de l'un de ces militaires : ils ont été pris en otage par des terrorristes et sont blessés. Pour les relâcher, ils exigent que je me rende sur le Daru Mozu accompagné de journalistes. Je pense qu'ils font partit d'une groupe orienté contre l'importance des Militaires dans cette Flotte." William repris son souffle. Il respira un grand coup, cherchant ses mots. Puis il reprit. "Des Marines sont en route pour le Mozu. Ils vont y introduire un gaz somnifère afin de neutraliser toute menace. Madame, j'ai besoin de votre soutient."

Je décide d'aller au CIC pour y rencontrer le Commandant et lui demander des informations.

À mon arrivée, le Commandant était en ligne, et je restais donc dans l'entrée, ne sachant que faire.

Citation :

[Commandant]"Madame, désolé si je n'ai pas pu vous informer plus tôt, mais la situation est grave. J'ai envoyé en debut d'après-midi une équipe de Militaires sur le Daru Mozu afin d'y suivre la piste d'une menace terrorristes. J'ai à présent reçu un appel de l'un de ces militaires : ils ont été pris en otage par des terrorristes et sont blessés. Pour les relâcher, ils exigent que je me rende sur le Daru Mozu accompagné de journalistes. Je pense qu'ils font partit d'une groupe orienté contre l'importance des Militaires dans cette Flotte." William repris son souffle. Il respira un grand coup, cherchant ses mots. Puis il reprit. "Des Marines sont en route pour le Mozu. Ils vont y introduire un gaz somnifère afin de neutraliser toute menace. Madame, j'ai besoin de votre soutient."

*Une prise d'otage, il ne manquait plus que ça.*


Laura regarda autour d'elle pour être sûre d'être seule.

" Commandant, vous savez, que je suis pour utiliser en premier la voix de la diplomatie et d'après ce que j'ai compris, vous avez des hommes sur Le Daru Mozu. Je Veux régler cette affaire au plus vite tout comme vous mais en ayant utilisé toutes les possibilités qui s'offre à nous. Je vous propose donc : Que je m'adresse aux terroristes puisqu'il s'agit d'un groupe orienté contre l'importance des militaires dans la Flotte, ils doivent, je pense, tenir un peu plus compte de mon avis. Nous gagnerons donc un peu plus de temps. Pendant que je leur parlerai, vos marines, se tiendront prêt à intervenir, au cas où. Si ça ne marche pas. Cette conversation tiendra lieu de diversion pour vos marines, Commandant. Qu'en pensez-vous ? "

Laura attendait sa réponse avec inquiétude.

William était toujours avec son téléphone. La situation était assez grave pour qu'il n'accepte pas d'être dérangé. Une nouvelle recrue entra dans le CIC, visiblement un peu perdue. William n'y attacha que très peu d'importance et repris sa conversation téléphonique avec la Présidente des Colonies. Will n'avait rien à y perdre : si la Présidente réussissait, nos gars seraient relâchés. Et si elle échouait, cela servirait de divertion, comme elle l'a dit. William prit sa respiration. Le téléphone grésilla. Puis il lui dit...

"Bien, Madame. Nous n'avons rien à y perdre. Un appel téléphonique de votre part pourrait être utile à vous comme à nous. Mais ceci est un problème Militaire, gardez-le à l'esprit... J'attend votre signal pour envoyer mes hommes." Après cela, Will raccrocha. Il regarda autour de lui, puis il prit le téléphone contrôlant les hauts-parleurs... "A toutes les escouades ayant pour cible Daru Mozu ! Stoppez les opérations ! Attendez mon signal."

En arrivant au pas de course au CIC, Lee et moi allions de suite nous enquérir de la situation auprès du Commandant. Je pris la parole: "Monsieur, pourquoi cet appel, qu'est-ce qui se passe? Sauf votre respect, les otages sont toujours sur le Daru Mozu, et ils sont en danger! "

Lee regardait son père avec un air interrogateur, mais me lança aussi un regard réprobateur lorsque je m'adressai au commandant. En effet, il n'appréciait guère que je parle sur ce ton à mes supérieurs, mais en même temps, je savais qu'il était aussi inquiet que moi.

Le Commandant n'arrivant toujours pas je décide de parler à une dénommée Dualla.

Je me dirige vers elle et je commence la conversation.

- "Bonjour ! Je suis nouveau et je souhaite savoir ce que je pourrais faire pour commencer. Je souhaite savoir où sera mes quartiers et si c'est possible d'avoir un Viper. Je vous en remercie de votre aide, je suis perdu. Pouvez-vous m'aider s'il vous plait ?"

[HJ - Moi, je te lance un regard réprobateur, Kara ? T'arrêtes de me faire passer pour un vilain méchant, hein, d'abord ! ^^]

En arrivant au CIC, le Capitaine Adama faillit percuter un homme planté au milieu de l'entrée, visiblement dans l'expectative, et se demandant s'il devait entrer ou pas. Au moment où Lee s'apprêtait à lui demander qui il était et ce qu'il faisait là, l'homme se décida à aborder Dualla, et ses paroles ne surprirent guère l'officier, "nouveau" clignotait en lettres rouges sur son front ! Il fit signe à Dualla qu'il s'en occupait, attrapa l'homme par le bras, et l'entraîna à nouveau dans le couloir.

- "Enseigne Cyranus, c'est ça ? Nous vous attendions. Je suis le Capitaine Lee Adama, et vous volerez avec moi. Mais pour le moment, je n'ai pas le temps de m'occuper de vous, et il est hors de question que vous intégriez l'escadrille avant un vol d'essai en entraînement. Autrement dit, profitez de votre temps libre pour visiter le vaisseau, vous installer dans les quartiers des soldats, etc. ... Vous n'en aurez peut-être plus le temps après. Quant aux vipers, ce ne sont pas des bonbons qu'on distribue, alors à moins d'être mécano dans l'équipe du Chef Tyrol, ne vous en approchez pas."
Il désigna au pilote une immense plaque en plastique fixée sur la paroi de la coursive à quelques mètres de distance. Un plan complet du Galactica se trouvait dessus. Puis il abandonna le pilote avec une claque d'encouragement dans le dos.

Il rejoignit Starbuck auprès du Commandant, au moment où elle l'interpellait vivement. Il haussa les sourcils, un rien moqueur. Comme si le Commandant ne savait pas que les otages étaient en danger ! Il ne fit pourtant pas de commentaire, et attendit les explications de son père. Au moins, Tigh n'était pas là pour la ramener, c'était toujours ça de gagné !

William avait juste terminé son annonce aux hauts-parleurs que Kara Thrace entra en trombes dans le CIC. Elle semblait énervé. Will était étonné et un peu énervé par la façon dont elle l'abordait. Le Commandant Adama savait maintenir un minimum de respect au sein de ses subordonnés, mais il faisait une exception pour Kara. Il ne voulait pas l'enfoncer encore plus qu'elle ne l'était déjà dans cette foutue boîte de conserve dont il était le Commandant, Saul était déjà assez désagréable avec elle.

Adama se contenta de lui lancer un regard qui en disait long sur le sujet... Puis il attendit que son fils se joigne à la conversation. Il commença... "J'ai eu la Présidente il y a une minute. Elle désire s'entretenir avec ces terrorristes par la radio afin d'éviter à avoir à faire intervenir nos hommes. Je ne pense pas qu'elle réussisse, mais ces enfoirés sont visiblement des supporters du Gouvernement Civil."

Une communication sonna au CIC. Dualla décrocha.

Billy: "Galactica. Ici Billy Keikeya. Je dois de suite parler au commandant Adama."

Dualla décrocha de l'autre côté du combiné.

Dualla: Ici Galactica j'écoute Colonial One.

Dualla: "Billy? Qu'est ce qui...d'accord."

Dualla se précipita vers le commandant et lui tendit un casque.

Dualla: "Une communication avec le Colonial One monsieur. C'est Billy Keikeya."

William était très anxieux. Il se demandait bien ce que la Présidente allait bien pouvoir dire à ces terrorristes. William n'avait pas encore totalement confiance en Laura. Il ne pensait pas qu'elle réussirait à persuader ces révolutionnaires de relâcher le quelconque otage, malgré son charisme et le fait qu'elle soit la Présidente des Colonies. Peut-être allait-elle nous faire gagner du temps et ainsi, nous fournir une diversion ? Cette devenait de plus en plus présente dans la tête du Commandant. Il allait donner ses nouveaux ordres lorsque Dualla lui fit signe qu'une conversation avec le Colonial One était en cours. Mais c'était l'assistant de la Présidente en ligne.

Sans trop réfléchir à pourquoi Billy prenait contact avec le BSG-75, William décrocha à nouveau ce téléphone noirâtre. Il entamma la conversation, sûr de lui... "Monsieur Keikeya ? Que se passe-t-il donc ?"

La voix de Billy résonna dans le téléphone.

"Commandant Adama. La présidente parle au terroriste en se moment. Elle voudrait que vous joignez les deux lignes pour pouvoir entendre la conversation."

Laura n'arrivait pas à croire ce qu'elle venait d'entendre. Ces coups de feu et puis ce que cet homme avait dit. Elle en frissonnait...

*Il y a un cylon parmi eux, sur le Daru Mozu, il ne manquait plus que ça !*

Après s'être assurée que le Daru ne pouvait rien entendre de ce qu'elle dirait...

" Commandant, Billy, avez-vous entendu la même chose que moi ? Ramenez-le ! Tenez-moi au courant de la situation Commandant, je vais esssayer de le faire parler, allez-y, envoyez vos hommes là-bas ! Essayez de le ramener vivant ,Bill"

En espérant que Bill comprendrait qu'elle voulait ce cylon vivant mais pas à n'importe quel prix, S'il fallait l'abattre pour protéger d'autres coloniaux, elle comprendrait.

laura reprit la communication.

" Daru Mozu, quelqu'un m'entend t-il ? Ici, Laura Roslin, que se passe-t-il ? parlez-moi ! Je vous en prie, y a t-il des blessés ? "

[Edit by Will] Je vais laisser intentionnellement un peu de temps avant de répondre. Il serait idiot de lancer l'action alors que les dirigeants de ceux-ci sont absents.

La communication résonna dans le téléphone du Galactica.

Une voix plus jeune mais aussi puissante que la précédente parla au téléphone.

"Ne bougez pas!! Vous êtes la présidente? Mes amis viennent de se faire descendre par vos hommes!!! Je suis le fils de celui que vous avez eux au téléphone! Maintenant les règles changes! C'est moi qui commande!"

La voix s'éloigna du combiné mais on l'entendit quand même.

"Qui as fait sa!!!?"

Cria le jeune homme.

"Peut importe...vous êtes tous responsables..."

Pendant un moment le jeune homme ne parla plus. On entendit juste des bruis sourd et des cris de douleurs.

"Emmenez les là ou l'ont stock le carburant! Et aussi les civils. Allez!!Plus d'otages ne nous feras pas de mal."

Le jeune homme repris le combiné.

"Madame la présidente vous êtes toujours là? Je ne suis pas mon père. J'ai pris les civils en otages en primes de ceux qui reste vos soldats!. Mais je poursuis la voix de mon père. Donnez nous ce que nous voulons!! Sinon je tuerais vos hommes et les civils!!"

[HJ: Tu as raison^^.]