Prison

"Crois tu vraiment que sa lui fera de l'effet Gaius? Ou essais tu juste de gagner du temps pour être sur qu'il ne dira rien sur toi?"

Fit 6 en lui posant sa main sur l'épaule en regardant par dessus lui.

"Nous ne sommes pas aussi fragile que vous nous autres cylons. Même tes tentatives avec ses doses de plutonium ne lui feront que peu d'effet. S'il ne veut pas parler il ne parlera pas. S'il veux parler au contraire...il dira tous ce qu'il c'est...mais peut être ne sait il rien sur toi finalement...ou peut être qui fais juste languir le moment fatidique pour mieu savourer sa victoire...et voir comment les humains traiterons un hommes dans ton genre Gaius..."

Elle lui souffla dans le coup avant de se mettre face à lui assise sur erwan qui ne la voyait, ni ne la sentait evidement. Elle le fixa d'un regard noir.

"Ne gache pas ta chance Gaius. Dieu ne t'en donnera pas une deuxième fois. Tu es son instrument. Dieu à une mission pour toi ne l'oublie pas. Ne fait pas tous rater par ce que ton ego surdimensionner à décider que ce cylon serait infaillible à ton serum et au plutonium. Peut être le lieutenant Thrace sera t'elle plus douée pour le faire parler..."

6 s'éloigna dans un coin de la pièce fixant Gaius attendant de voir ce qu'il ferais aprés qu'elle lui aille mis de nouveau doute en tête.

Pat se sentait totalement inutile. Baltar agissait de son propre chef. Et qu'avait-il a dire, lui ? Qui était-il ? Un médecin civil égaré parmi les militaires. Il était là pour panser les plaies. Pour le reste, il fallait qu'il se taise. Pat était un mec calme. Il avait appris à se dominer. Mais là, il sentait que la colère allait bientôt l'emporter. Ce ne serait pas une bonne méthode, cependant, de montrer au cylon que la dissention régnait parmi les humains. Il risquait trop d'en profiter. Ca ne lui était pas arrivé depuis des années mais il avait envie de prendre Baltar par le revers et de lui casser la gueule. Aussi il ne dit rien sur le moment, se contentant de vérifier les bandages du cylon. Puis il lui dit doucement :

-"Vous en faites pas, ça va aller."
Une phrase bateau pour rassurer. Il avait essayé d'y mettre de la conviction mais il n'était pas bon acteur. L'hypocrisie, il ne savait pas faire. Mais cette mauvaise comédie lui avait permi de reprendre un peu son empire sur lui-même.

Il regarda Baltar droit dans les yeux.
-"J'voudrais vous dire un mot en particulier, professeur."

Sans attendre la réponse de l'autre il quitta la cellule et se posta plus loin, hors des oreilles du cylon.
-"Y'a un truc que j'voudrais savoir", dit il lorsque Baltar l'eu rejoint "les cylons, vous les connaissez ? Vous savez comment ils sont fait, les physiologie et tout ? Parce que sinon je trouve ça sacrément risqué d'lui administrer des trucs sans connaître la réaction qu'il peut avoir. Au lieu d'vouloir le faire parler tout de suite à n'importe quel prix, vous croyez pas qu'il faudrait au moins passer quelques heures à l'étudier ?"

Gaius était tiraillé de tous les côtés. D'un côté la pulpeuse Numéro Six qui n'arrêtait pas de lui faire peur, et de l'autre le Dr. Moreau.
"Mon cher confrère, je puis vous affirmer que je connais parfaitement la physionomie Cylon, surtout la physionomie des humanoïdes, l'ayant vue...d'assez près. Ils sont en tout point pareil à nous même. Ils ressentent la peur, la douleur, la peine, la souffrance à toutes les échelles, aussi bien que nous. Par conséquent il serait futile de ne pas utiliser nos faiblesses humaines, qui sont au final également les leurs, à leur désavantage. Ne vous inquiétez pas, j'essayerai de ne pas lui faire trop mal si ça peux vous faire plaisir..."
Gaius était désormais déterminé de voir la réaction d'un Cylon humanoïde au sérum de vérité.
Mais si Six s'avérait exacte, Gaius devra passer à la manière...forte.

Il regarda thrace sans rien dire, elle ne comprenais rien et en un sens il savait qu'elle n'y était pour rien...mais il etait certain que si ils en venaient a la maniere forte, il rencontrerait la resistance de l'autre...
on lui injecta quelque chose, on lui dit un anti douleur, mais il avait toujours mal.
Erwan se sentait tout bizarre ce serum de verité l'avait rendus apathique, il ne se sentait pas bien, il avait comme une envie de vomir...

*Resiste ptit con ou alors je prend la relève.....* il entendit un rire machiavelique dans ce tete.
Il fit cependant tout ce qu'il put pour lutter contre la chose qu'on lui avait administré.

Il dit tout bas ce sentant perdus, qu'est qu'on lui faisait?

-"Qu'est ce que c'était ca ?..." Il regardat les deux docteur avec un regard inquiet, les yeux briants.

-"Vous voulez me faire parler avec un produit ! mais puisque je vous dis que je ne sais rien.
Vous souhaitez me faire parler, mais je n'ai rien a dire."

*Tu n'as jamais su mentir Dom Juan, même aux femelles mortelles...
Enfin continus...il voudrons nous faire parler a tous pris et je nous arrangerais une mort, et chacun aurat son corp et toi tu seras bon pout l'archivage ! ! *
Il reentendis ce rire froid en lui

Pat regardait le docteur Baltar. Mais qui était ce type ? Le docteur était de plus en plus convaincu que ce n'était pas Erwan qui devrait être en cellule mais l'homme qui lui faisait face. Ce génie reconnu par toutes les douze colonies. Il n'y avait pas une heure, lui, Pat, ignorait totalement l'existence de cylons humanoïdes, on venait de lui demander d'essayer de comprendre et de soigner celui qu'on avait capturé et lui, Baltar lui annonçait gentiment qu'il connaissait parfaitement bien leur physionomie.

Pat le regarda droit dans les yeux. Pat était quelqu'un de tolérant, qui cherchait toujours à voir le bon côté des gens. Baltar était vraiment la première personne à lui être d'emblée aussi anthipathique.
*Il s'est peut-être mal exprimé, c'est tout...*
Peut-être. Mais Pat n'y croyait pas.
-"J'aimerai vraiment savoir comment vous avec pu acquérir une telle connaissance, professeur."

Il croisa les bras, espérant que les militaires avaient entendu les allégations du professeur. L'homme allait sans doute devoir éclaircir pas mal de points.

-"Parfait. Les cylons sont en tout point semblables à nous. Cela nous évite bien des analyses. Mais faudrait p'être le traiter comme un humain, alors, vous croyez pas ?"

Il jeta un coup d'oeil au cylon. Il soupira.
-"Mettez-vous à notre place. Nous sommes en guerre, nous avons besoins de renseignements contre notre ennemi. Je peux me battre pour qu'ils vous traitent décement. Mais je peux pas faire mieux."

De nouveau à ses côtés 6 plongea son regard dans celui de Gaius, un regard coquin brillant dans ses yeux.

"Il veut savoir comment tu connais la physionomie des cylons Gaius."

Laissa échapper 6 avec un petit sourir coquin.

"Crois tu qu'il se doute que tu as couché avec l'un d'entre eux? Hmmm Gaius."

Fit elle en lui mordillant l'oreille et en lui passant la main sur le pantalon. Elle commença à relever un côté de sa fine robe rouge qui lui moulait le corp, puis laissa sa jambe glisser contre celle de Gaius. Se collant contre lui elle lui mordilla la lèvre puis l'embrassa délicatement en l'enlaçant.

Baltar souriait bêtement après le "passage" de Numéro Six.
Il avait sa bouche grande ouverte avec un petit filet de ba...
Pat : "Euh... Docteur ? Vous devriez fermer votre bouche avant que de la bave n'en sorte !"
"Hein ? Euh...oui oui ! Très bien oui, j'ai des petits problèmes physiques en ce moment qui me...Oh ! (petit cri de femme) Arrête ça ! Euh...je disais, j'ai quelques problèmes en ce moment mais ce n'est pas très important."
...Car il était vexé par l'attitude du Docteur Moreau.
"Docteur Moreau, je n'ai pas "acquérie" une telle expérience. J'étais juste dans le secret bien avant vous, étant le 'docteur Cylon' de la flotte, comme ce cher Commandant m'appelle...(a moins que ce ne soit le XO ?)
Nous les traitons comme des prisonniers Cylons humanoïdes, donc comme des humains, plus ou moins. Un humain ayant trahie les Colonies serait traité de la même manière, je puis vous assurer de ça ! Et comme vous le dites si bien, nous sommes en temps de guerre !
Le virus de sérum ne semble pas avoir fait son effet. Att..."
*Ouh ça chatouille !*
Numéro Six venait de lui toucher...une partie du corps.
"Uhm... Attendons encore un peu voir ce que va dire Kayns."
Gaius se dirigea vers le Cylon, et le souleva brusquement par le col.
"Dites moi qui sont les autres copies !"
Baltar était convaincu que Kayns ne savait que peu de choses à propos de lui. Et au pire des cas, il pouvait toujours faire semblant de "glisser" et de "tomber" sur la tête de Erwan, l'assommant ainsi.

Erwan eut un sourire froid en mettant ses yeux perçants dans ceux de baltar.
Puis Il eut un rire machiavelique lorsqu'il -de sa main valide- lui retourna le poigner, pres du point de casure sans forcer.

-"Il n'est pas conseiller de brusquer un cylon, bléssé et non attaché, il n'en fais qu'a ca tete"

il se mit derriere lui et en lui serrant de plus en plus fort la gorge, avec son bras qui avait laché le bras pour l'enrouler autour du coups.

-"Je met au point une regle mon cher professeur, vous ne tenter pas d'action vaine, sinon je vous decapsule la tete comme une biere, vous comprenez ou je dois vous faire un dessin ?

Il regarda les personnes dans la piece avec un regard noir. Il tentais un coup de poker dangereux, il le savait mais il voulait faire une chose avant...

-"Je veux comme negociateur la presidente ou je tue votre precieux professeur, sachez que je ne rigole pas.
Je veu cette beauté devant moi d'ici 5 minutes, je commence le decompte maintenant !"

Gaius Baltar avait un peu peur, mais en avait marre désormais des Cylons humanoïdes.
"Pas besoin d'un autre Cylon pour me mener à la baguette !"
Heureusement pour le docteur, il avait comme prévu dans sa poche gauche deux seringues de plutonium pour le Cylon.
Il en sortit une rapidement et l'enfonça dans la fesse droite d'Erwan...qui lâcha prise et s'écroula de douleur.
Tout de suite, Gaius s'écarta du prisonnier, maintenant en joue par Kara, Lee, et un marine.
S'adressant au Dr. Moreau, Gaius dit :
"Alors mon cher Docteur, vous pensiez que nous ne le traitions pas suffisamment humainement ? On ne l'a pas enchainé...et voyez où ça nous mène !"
Baltar donna un (petit) coup de pied dans le ventre du Cylon à terre.

Pat regarda Baltar se foutre ouvertement de sa figure. Ou alors il y avait un secret qu'il aurait beaucoup mieux valu divulguer bien plus tôt. Il soupira, le secret, c'était une maladie des militaires. Il devait composer avec depuis plus de trente ans. Il commençait à avoir l'habitude. Le cylon avait laissé sa partie agressive reprendre le dessus. Pat avait une impression d'inutilité de plus en plus envahissante.
-"Ok, vous êtes le spécialiste en cylons et moi chuis plus doué pour soigner les fils d'Adams et Eve. Alors j'crois qu'le mieux et que chacun s'occupe de ses ouailles, vous croyez pas ? J'ai fait pour ce mec ce que j'aurais fait pour n'importe quel autre être humain. Le soigner comme on m'a appris à le faire. Après je crois que j'ai plus du tout ma place. Aussi, j'vais r'tourner vers les humains si ça vous gène pas."

Il n'attendit la permission de personne. Il ramassa sa sacoche et tourna les talons. Il venait de mentir. Il n'avait pas du tout l'intention de laisser l'homme aux mains de Baltar. Il reviendrait le voir, lorsqu'il serait seul dans sa cellule, ça finirait bien par arriver. Et là, il tenterait de mettre ses propres méthodes en application. Dans l'immédiat, il y avait surement de l'ouvrage à l'infirmerie.

[HJ : Dernier post pour moi, comme ça c'est propre. Bonne continuation à tous !]

Kara était restée en retrait, près de Lee. Elle observait toute la scène. Pour elle, celle-ci avançait enfin. Le Cylon démontrait, une fois de plus, toute sa passion pour la violence et saisissant, cette fois-ci, le Professeur Gaius Baltar lui-même. Kara sortit son arme, et visa la tête d'Erwan. Celui-ci désirait parler à la Présidente au plus vite. Mais le Professeur sortit une seringue portant une étiquette attestant de la radioactivité de la substance, et il lui enfonça dans la cuisse. Kara rangea son arme. Le Professeur Baltar qui venait d'injecter au Cylon une dose de Plutonium. L'effet ne se ferait certainement pas attendre. Mais elle ne supportait plus de rester ici. Celui faisait déjà près d'une heure que tout cela durait : elle avait besoin de se tenir au courant de ce qu'il se passait. Et, de toute façon, Lee était là pour surveiller ce qu'il se passait.
"Je vais au CIC, Lee..." fit-elle au Capitaine Adama.
Néanmoins, elle ne manqua pas de passer devant le Cylon, qui se tordait de douleur. Elle aborda un sourire malchiavélique, puis elle ricana de le voir dans cet état.
"Si il ne dit rien, n'hésitez pas à le piquer une seconde fois." dit-elle au Professeur.
Puis elle sortit de la salle, saluant Patrice au passage.

[HJ : je vais éditer pour PNJser Lee et peut-être Patrice. Mais Kara était la plus urgente.]

Erwan s'était fait avoir, il se tordait de douleur, chaque mouvement, était affreux.
Il eut une contraction de l'estomac brutale, il vomit sur le sol pendant 2 minutes.
Il ne pouvait put bouger, il bouillait interieurement.
ses nausées etaient affreuses.


"Que m'avez vous faits...." dit il en toussant violament.

il revomit, encore.

Lee était resté appuyé contre le mur de la prison, les bras croisés sur la poitrine, observant les deux docteurs, l'un en science, l'autre en médecine, s'affronter sur la conduite à tenir avec le cylon. Il ne savait absolument pas à quoi s'en tenir sur Erwan, si ce n'est qu'il était sans doute réellement ce que la présidente avait dit qu'il était, un schizophrène. Et comme à chaque fois qu'il ne savait pas quelle conduite adopter, il la bouclait, tout simplement.

Il avait observé les allers et retours entre Erwan le gentil et l'affreux méchant cylon, sceptique. Il avait laissé le docteur Moreau pénétrer dans la cellule, puis Baltar, assisté aux premiers soins, à l'injection du sérum de vérité, puis à celle du plutonium, au départ de Pat... Le tout sans rien dire, Kara tirant promptement son arme à ses cotés quand c'était nécessaire. Mais là où le capitaine se méfiait en revanche, c'était sur l'émergence de coté "gentil" de la personnalité d'Erwan. Quelque chose lui disait que l'affreux jojo était toujours aux commandes, même lorsque c'était son compère plus calme qui s'exprimait. Tout cela ressemblait trop à une vaste fumisterie.

Lorsque Kara quitta la prison, il leva les sourcils, surpris qu'elle n'insiste pas davantage pour faire sa fête à celui qui ne cessait de la provoquer. Mais il continua de garder le silence, les yeux toujours fixés sur Erwan. L'affreux ne parlerait pas, il en était de plus en plus persuadé, et il était de plus en plus convaincu de perdre son temps. Mais il était hors de question de tuer ce cylon, il allait subir toute la batterie de tests dont les scientifiques avaient besoin et/ou envie. Lorsqu'il s'écroula sur le sol, Lee, dégoûté, s'approcha du professeur Baltar.
- "Faîtes-en ce que vous en voulez avec vos scientifiques, Baltar, toutes les expériences nécessaires, mais ne le tuez pas ! Il n'attend visiblement que ça !"

Puis il tourna les talons, ordonnant aux marines de veiller au grain. Toujours plongé dans des pensées pour le moins noires, le cerveau en ébullition, il quitta la prison.

Erwan commencais a aller mieu, son débit respiratoire etait tres elevé, soudain il y eut une enorme secousse !
les gardes étaient projetés contre les barreaux, le docteur et lui aussi.
Il se cogna la tete, mais était encore consciens sa vue était flou....
En se relevan, il remarqua que personne était conscien.

Petite nature... dit il un sourire aux lèvres

Il vit le tour de la salle, vomit par terre une enième fois et toussa fortement, Il prit l'arme de poing d'un marine et alla vers la port de sa cellule et sortit.
Personne ne devait le remarquer avant qu'il fasse ce qu'il avait a faire.


[HJ]Je fais avancer l'action, dites le si ca ne va pas.[HJ]